Qualité de l’air intérieur : impact sur la santé & le bien-être

Tout au long de notre vie, nous nous retrouvons majoritairement en intérieur plutôt qu’en extérieur. Notamment chez nous, au travail, dans des magasins… L’air que nous y respirons a été pollué par de nombreuses substances naturelles ou produites par l’homme. Mais, autant à l’intérieur qu’à l’extérieur, la pollution de l’air représente le plus grand risque environnemental en termes de santé publique. Cette pollution cause de nombreuses maladies sur le court terme et le long terme. Et peut potentiellement réduire l’espérance de vie. On appel bâtiments malsains, les espaces dans lesquels on retrouve des produits pouvant nuire à la santé des occupants.

De nos jours, les architectes, designers, employés, propriétaires de bâtiments et gouvernements du monde entier réagissent désormais. Suite aux nombreuses constatations de l’impact de l’environnement de travail sur la santé et le bien-être.

Santé & Bien-être : quelle est la différence ?

De nombreuses définitions sont porposées à propos du bien-être, mais toutes regroupent une sensation agréable et de réussite. Wellbeing Institute (Université de Cambridge) définit le bien-être comme « des caractéristiques positives et durables qui permettent aux individus et organisations de prospérer et de s’épanouir. » On peut donc considérer cela comme une mesure subjective de notre niveau de confort à un moment présent et dans la vie en général.

Passons maintenant à la définition de la santé. Celle-ci, au sens large, inclut le bien-être. Mais ici, il fera référence aux maladies et conditions qui affectent notre corps. On retrouve les infections, les allergies, la fatigue, le mal de tête, ainsi que les problèmes respiratoires, dermatologiques ou oculaires.

Les bâtiments malsains

Depuis les années 80, la prise de conscience concernant les effets de l’environnement de bureau sur la santé et le bien être des personnes ne cesse d’augmenter. On retrouve plusieurs termes pour définir les impacts négatifs des bâtiments sur leurs occupants. L’hypersensibilité chimique multiple et/ou les maladies liées aux bâtiments. Toutefois, un ce démarque : il s’agit du syndrome des bâtiments malsains.